Avec plus de 3 millions d’entreprises en France, la concurrence devient rude. À cet effet, il est d’ordre capital que chaque entité se fasse guider correctement dans leur compétition. Oui, un conseiller juridique et fiscal aidera celle-ci à fructifier légalement ses affaires. Mais qu’est-ce que réellement un conseiller fiscal ?

Qu’est-ce qu’un conseiller juridique et fiscal ?

À titre informatif, un conseiller fiscal est une personne qualifiée du droit fiscal qui apporte ses services à toute forme d'organisation. Toutefois, sachez que ce spécialiste des lois d’entreprise peut également apporter son soutien aux experts-comptables à titre de service personnel. À part cela, il est important de noter qu'un fiscaliste, digne de ce nom, ne devrait pas se montrer exigeant vis-à-vis des cas qui se présentent. En 5 ans d'étude juridique, celui-ci est supposé savoir comment résoudre des affaires basiques comme les projets de restructuration, de transmissions d’entreprise … Et même en cas de contrôle fiscal, le fiscaliste pourra apporter son aide aux entreprises en faisant grâce de leur assistance. Avec une grande ouverture du marché des services juridiques, l'État continue alors à laisser libre recours aux boîtes juridiques de s'ouvrir. Un phénomène qui pousse les futurs conseillers fiscaux à travailler pour son propre compte. Ne connaissant encore aucun juriste fiscal, il serait mieux de toujours faire appel à un cabinet d’expertise pour vous épargner une mauvaise surprise de la part d'un inconnu. Enfin, il serait mieux que vous consultiez le site d’Immobilier Juridique pour trouver un conseiller fiscal compétent.

Quelles sont les fonctions d’un conseiller juridique ?

Pour assurer le bon fonctionnement d’une organisation, il est toujours préconisé de faire appel à un fiscaliste. Grâce à son intervention, la mise en œuvre de toutes les procédures judiciaires prendront moins temps. Oui, il faudrait passer par un juriste pour pouvoir résoudre un souci d’ordre juridictionnel. Ayant pour principal rôle la représentation, le conseiller juridique se doit de représenter en justice son employeur (entreprise, organisme ou association) devant toute une autorité administrative indépendante. À part cela, celui-ci devrait également être capable de vérifier l’authenticité de n'importe quel document juridique tel un contrat. Mais surtout, ce spécialiste en finance et en droit se trouve garant de l'harmonie existant entre son entreprise et les partenaires de celle-ci. Pour ce faire, l’expert doit s'informer fréquemment au sujet des nouvelles publicités  afin de pouvoir mettre à jour ses nouvelles stratégies. Cependant, les fonctions de l’expert peuvent prendre une plus grande envergure si celui-ci décide de mettre ses connaissances au service d’une organisation étatique. Effectivement, seuls ces types d'experts sont capables d’améliorer les lois et les procédures liées à la branche du droit fiscal. Un fait positif pour les entreprises qui ne souhaitent pas se trouver sous le joug du tiré-profit de l’État avec un coût d'impôt extrêmement surélevé.

Que faire pour devenir un conseiller juridique et fiscal ?

Souhaitez-vous peut-être devenir conseiller fiscal ? Il faudrait alors que vous preniez compte de toutes les qualités qu’un fiscaliste devrait avoir pour réussir dans son domaine. Comme tout emploi, le droit fiscal exhorte d'abord énormément de rigueur et de motivation étant donné qu'il doit faire face à plusieurs cas d'affaire au quotidien. À cet égard, il s'avère d'ordre capital que l’expert en droit juridique se montre assez flexible. En effet, le conseiller juridique est tenu de piocher de temps à autre dans les textes du droit civil, du droit commercial … pour trouver une réponse à ses questionnements. En termes de compétences relationnelles, le conseiller ne devrait pas non plus redouter les rencontres régulières auprès des clients. À part ces compétences de base, un futur fiscaliste est aussi obligé d’avoir une grande maîtrise des chiffres. Oui, celui-ci ne pourra certainement pas analysé un bilan comptable s’il ne se sent pas à l’aise avec les nombres. Mais le plus important serait la détention d'une certification qui prouve vos savoir-faire, le prétendu "conseiller juridique" ne pourra jamais se prévaloir de ce titre sans avoir passé son Master 2 dans ce domaine. Mais pour parvenir à un tel résultat, la personne intéressée devrait d’abord passer son baccalauréat. Après cela, celle-ci sera libre de poursuivre un parcours “droit” afin de se spécialiser dans le domaine des affaires, du commerce, ou encore de l’environnement au bout de ses 4 ans d'étude supérieure.

Les possibilités d’évolution d’un conseiller juridique

Pareils aux autres métiers, le conseiller juridique peut toujours envisager une évolution de carrière. Après quelques années d'expérience, la personne aura une forte chance d'être mise dans la direction générale de son département. Ceux qui travaillent au sein d’un cabinet, quant eux, auront la possibilité de travailler à leur compte. Seulement, faites attention de ne pas être contraints par le contrat que vous avez signé avec votre employeur ! Effectivement, certaines boîtes de conseil en finance fixent une clause de non-concurrence dans leur acte juridique conventionnel afin de ne pas laisser les meilleurs employés voler de leurs propres ailes. Un conseiller fiscal sera, quant à lui, en mesure de continuer dans une voie purement juridique. Oui, ce revirement de carrière s'avère faisable sous réserve d'une longue durée de travail dans un département.